« Voici ta Mère »

Le jour de l’Assomption, de nombreux chrétiens sont rassemblés dans les divers sanctuaires dédiés à Marie. Chaque année, les pèlerins à Lourdes sont plus nombreux que d’habitude. Ces sentiers où l’on conduisait les troupeaux sont devenus des lieux où cheminent des chercheurs de Dieu. De même à Fatima, Notre Dame du Laus, Pontmain et jusque dans nos petites chapelles de campagne, on organise des pèlerinages en l’honneur de Marie. Où que nous soyons, nous sommes invités à nous unir dans une même louange.

L’évangile de ce jour nous rapporte le récit de la Visitation et la prière du Magnificat. Marie se rend chez sa cousine Élisabeth devenue enceinte du futur Jean Baptiste. Elle y va bien sûr comme aide ménagère, mais aussi pour communier avec elle au merveilleux bonheur de la vie. Elle rend grâce car dans le monde de Dieu, les premiers sont les derniers. Les exclus, les petits, les humbles ont la première place dans son cœur. Marie se reconnaît proche d’eux. Elle le montre dans sa prière mais aussi dans son engagement. C’est cet amour qui l’a poussée à faire ce long déplacement pour se rendre chez sa cousine Élisabeth.

La Vierge n’a pas changé. Si nous l’appelons, elle accourt vers nous. Et Jésus est toujours en elle ou à ses côtés. Oui, bien sûr, nous ne sommes pas Élisabeth et Marie n’est pas notre cousine. Mais elle est encore plus puisqu’elle est notre mère. C’est Jésus qui l’a voulu ainsi lorsqu’il était sur la croix. S’adressant à Jean, il dit : “Voici ta mère”. Et à Marie : “Voici ton fils.” A partir cette heure-là, le disciple la prit chez lui. A travers lui, c’est toute l’humanité que Jésus confiait à sa mère. Alors n’hésitons pas à prendre Marie chez nous et à lui donner la place d’honneur. Nous pourrons toujours compter sur elle. En ce jour, nous rendons grâce à Dieu pour ce merveilleux cadeau qu’il nous fait en nous donnant Marie pour Mère.

A l’occasion de cette fête, nous célébrons Marie qui a été la première des croyants à accueillir la Parole de Dieu. Elle nous a ouvert un chemin qui est emprunté par tous ceux et celles qui ont décidé de lier leur vie à celle de Jésus. Cette fête nous annonce que nous sommes tous appelés à devenir des saints. Si nous voulons aller au ciel, il nous faut devenir des saints car au ciel, il n’y a que des saints.

C’est vrai qu’en regardant nos pauvres vies, nous reconnaissons que nous sommes loin du compte. Comprenons bien : Dieu nous appelle à être saints comme lui-même est saint. Alors là, il y a de quoi donner le vertige. Mais nous devons nous rassurer : ce n’est pas par nos seules forces ni par notre vertu que nous y parviendrons. C’est absolument impossible. Nous ne pouvons compter que sur la miséricorde du Seigneur et sur son pardon. Pour parvenir à la sainteté, il n’y a pas d’autre chemin que d’accueillir son amour et nous laisser transformer par lui. Rappelons nous ce que dit saint Paul : “Là où le péché a abondé, l’amour a surabondé.”

Que cette fête de l’Assomption fasse grandir en nous le désir d’imiter la Vierge Marie. Laissons grandir notre confiance en sa prière maternelle pour partager un jour sa gloire. Amen

Assomption de la Vierge Marie

Le jour de l’Assomption, de nombreux chrétiens sont rassemblés dans les divers sanctuaires dédiés à Marie. Chaque année, les pèlerins à Lourdes sont plus nombreux que d’habitude. Ces sentiers où l’on conduisait les troupeaux sont devenus des lieux où cheminent des chercheurs de Dieu. De même à Fatima, Notre Dame du Laus, Pontmain et jusque dans nos petites chapelles de campagne, on organise des pèlerinages en l’honneur de Marie. Où que nous soyons, nous sommes invités à nous unir dans une même louange.

L’évangile de ce jour nous rapporte le récit de la Visitation et la prière du Magnificat. Marie se rend chez sa cousine Élisabeth devenue enceinte du futur Jean Baptiste. Elle y va bien sûr comme aide ménagère, mais aussi pour communier avec elle au merveilleux bonheur de la vie. Elle rend grâce car dans le monde de Dieu, les premiers sont les derniers. Les exclus, les petits, les humbles ont la première place dans son cœur. Marie se reconnaît proche d’eux. Elle le montre dans sa prière mais aussi dans son engagement. C’est cet amour qui l’a poussée à faire ce long déplacement pour se rendre chez sa cousine Élisabeth.

La Vierge n’a pas changé. Si nous l’appelons, elle accourt vers nous. Et Jésus est toujours en elle ou à ses côtés. Oui, bien sûr, nous ne sommes pas Élisabeth et Marie n’est pas notre cousine. Mais elle est encore plus puisqu’elle est notre mère. C’est Jésus qui l’a voulu ainsi lorsqu’il était sur la croix. S’adressant à Jean, il dit : “Voici ta mère”. Et à Marie : “Voici ton fils.” A partir cette heure-là, le disciple la prit chez lui. A travers lui, c’est toute l’humanité que Jésus confiait à sa mère. Alors n’hésitons pas à prendre Marie chez nous et à lui donner la place d’honneur. Nous pourrons toujours compter sur elle. En ce jour, nous rendons grâce à Dieu pour ce merveilleux cadeau qu’il nous fait en nous donnant Marie pour Mère.

A l’occasion de cette fête, nous célébrons Marie qui a été la première des croyants à accueillir la Parole de Dieu. Elle nous a ouvert un chemin qui est emprunté par tous ceux et celles qui ont décidé de lier leur vie à celle de Jésus. Cette fête nous annonce que nous sommes tous appelés à devenir des saints. Si nous voulons aller au ciel, il nous faut devenir des saints car au ciel, il n’y a que des saints.

C’est vrai qu’en regardant nos pauvres vies, nous reconnaissons que nous sommes loin du compte. Comprenons bien : Dieu nous appelle à être saints comme lui-même est saint. Alors là, il y a de quoi donner le vertige. Mais nous devons nous rassurer : ce n’est pas par nos seules forces ni par notre vertu que nous y parviendrons. C’est absolument impossible. Nous ne pouvons compter que sur la miséricorde du Seigneur et sur son pardon. Pour parvenir à la sainteté, il n’y a pas d’autre chemin que d’accueillir son amour et nous laisser transformer par lui. Rappelons nous ce que dit saint Paul : “Là où le péché a abondé, l’amour a surabondé.”

Que cette fête de l’Assomption fasse grandir en nous le désir d’imiter la Vierge Marie. Laissons grandir notre confiance en sa prière maternelle pour partager un jour sa gloire. Amen

Assomption de la Vierge Marie

Le jour de l’Assomption, de nombreux chrétiens sont rassemblés dans les divers sanctuaires dédiés à Marie. Chaque année, les pèlerins à Lourdes sont plus nombreux que d’habitude. Ces sentiers où l’on conduisait les troupeaux sont devenus des lieux où cheminent des chercheurs de Dieu. De même à Fatima, Notre Dame du Laus, Pontmain et jusque dans nos petites chapelles de campagne, on organise des pèlerinages en l’honneur de Marie. Où que nous soyons, nous sommes invités à nous unir dans une même louange.

L’évangile de ce jour nous rapporte le récit de la Visitation et la prière du Magnificat. Marie se rend chez sa cousine Élisabeth devenue enceinte du futur Jean Baptiste. Elle y va bien sûr comme aide ménagère, mais aussi pour communier avec elle au merveilleux bonheur de la vie. Elle rend grâce car dans le monde de Dieu, les premiers sont les derniers. Les exclus, les petits, les humbles ont la première place dans son cœur. Marie se reconnaît proche d’eux. Elle le montre dans sa prière mais aussi dans son engagement. C’est cet amour qui l’a poussée à faire ce long déplacement pour se rendre chez sa cousine Élisabeth.

La Vierge n’a pas changé. Si nous l’appelons, elle accourt vers nous. Et Jésus est toujours en elle ou à ses côtés. Oui, bien sûr, nous ne sommes pas Élisabeth et Marie n’est pas notre cousine. Mais elle est encore plus puisqu’elle est notre mère. C’est Jésus qui l’a voulu ainsi lorsqu’il était sur la croix. S’adressant à Jean, il dit : “Voici ta mère”. Et à Marie : “Voici ton fils.” A partir cette heure-là, le disciple la prit chez lui. A travers lui, c’est toute l’humanité que Jésus confiait à sa mère. Alors n’hésitons pas à prendre Marie chez nous et à lui donner la place d’honneur. Nous pourrons toujours compter sur elle. En ce jour, nous rendons grâce à Dieu pour ce merveilleux cadeau qu’il nous fait en nous donnant Marie pour Mère.

A l’occasion de cette fête, nous célébrons Marie qui a été la première des croyants à accueillir la Parole de Dieu. Elle nous a ouvert un chemin qui est emprunté par tous ceux et celles qui ont décidé de lier leur vie à celle de Jésus. Cette fête nous annonce que nous sommes tous appelés à devenir des saints. Si nous voulons aller au ciel, il nous faut devenir des saints car au ciel, il n’y a que des saints.

C’est vrai qu’en regardant nos pauvres vies, nous reconnaissons que nous sommes loin du compte. Comprenons bien : Dieu nous appelle à être saints comme lui-même est saint. Alors là, il y a de quoi donner le vertige. Mais nous devons nous rassurer : ce n’est pas par nos seules forces ni par notre vertu que nous y parviendrons. C’est absolument impossible. Nous ne pouvons compter que sur la miséricorde du Seigneur et sur son pardon. Pour parvenir à la sainteté, il n’y a pas d’autre chemin que d’accueillir son amour et nous laisser transformer par lui. Rappelons nous ce que dit saint Paul : “Là où le péché a abondé, l’amour a surabondé.”

Que cette fête de l’Assomption fasse grandir en nous le désir d’imiter la Vierge Marie. Laissons grandir notre confiance en sa prière maternelle pour partager un jour sa gloire. Amen