Belle-mère :
Le petit Paul dit à son papa :
« Papa, j’ai bien compris qu’Eve était la femme d’Adam, mais qui était sa belle-mère ?
– Mais Paul tu sais bien qu’ils étaient au paradis terrestre : il n’y avait pas de belles-mères ! »
Au voleurA la crèche de Noël
Une personne qui avait abandonné la pratique religieuse est en train de faire sa crèche. Elle met en bonne place tous les santons. Elle se dit : « je vais mettre l’âne à côté de Jésus, comme ça il me reconnaîtra ».
Un « vrai » miracle
La maîtresse demande aux enfants de sa classe de CP :
– Qui peut me dire ce qu’est un miracle ?
Une petite fille juive lève la main ; la maîtresse lui donne la parole :
– Un miracle, c’est quand Dieu a ouvert la Mer Rouge pour laisser passer son peuple
La maîtresse se montre sceptique :
– Euh, non, pas vraiment. D’après les scientifiques, les Israélites ont sans doute trouvé un passage qui leur permettait de traverser, mais on estime qu’il ne devait pas y avoir plus de vingt centimètres d’eau… Alors qui peut me donner l’exemple d’un « vrai » miracle ?
La même petite fille lève à nouveau la main. La maîtresse lui donne de nouveau la parole…
– Un « vrai » miracle, c’est que Pharaon et toute son armée ont réussi à se noyer dans vingt centimètres d’eau…
Prêtre pour toutes les nations
Marie-Aurore, 7 ans, demande poliment à un prêtre Ougandais :
– Pardon, mon Père, puis-je me confesser à vous, ou êtes-vous réservé pour les enfants noirs ?
Humour de Jean XXIII
À l’occasion de la réception
d’un sénateur nord-américain,
ce dernier se présente en évoquant sa religion :
« Saint-Père, je suis baptiste ».
Avec son éternel humour,
saint Jean XXIII répondit : « Moi, c’est Jean.
Nous sommes donc complémentaires ! »
Théologien
Un petit théologien de cinq ans assistait à la messe avec sa maman. Après la communion, le prêtre va ranger le ciboire dans le tabernacle. A ce moment-là, l’enfant voit que ce prêtre a un pansement au doigt. Il se met alors à crier : « Bien fait, t’avais qu’à pas l’enfermer ! » N’enfermons pas le Seigneur, mais portons-le aux autres
Un monsieur très riche
Un monsieur très riche et très radin avait demandé qu’à sa mort on mette toute sa fortune dans sa tombe. A moment de refermer le cercueil, son épouse lui met une enveloppe dans la poche de sa veste. Sa sœur lui dit : « Tu ne l’as pas fait ! ». Ce à quoi elle répond : « Si j’ai répondu à sa demande, je lui ai fait un chèque. »
Problème de micro à l’église
Un prêtre qui se préparait pour la messe s’aperçoit que son micro ne marchait pas. Après de nombreux essais infructueux, il le dit aux gens qui sont à l’église : « J’ai des problèmes avec mon micro. » Quelqu’un qui avait un peu mal entendu lui répond : « Et avec votre esprit »
Humour de Jean-Paul II
« La légende dorée vaticane raconte qu’un jour, voyant le Pape revenir de voyage fatigué, la sœur Eufrozyna se serait adressée à lui telle une mère, «je suis préoccupée pour votre Sainteté». «Je suis aussi préoccupé pour ma sainteté», aurait répondu le Pape qui avait l’habitude de se moquer gentiment de ses dévouées compatriotes. »
Dans un petit village
Dans le bistrot de ce petit village, monsieur le curé boit un verre avec trois paroissiens. C’est un prêtre très fervent et « missionnaire dans l’âme ». Entre dans le bar un jeune gars qu’il a eu au catéchisme. Ils se saluent chaleureusement et échangent quelques mots, tout heureux de se retrouver. Le prêtre lui dit avec énergie : « Johan, rejoins l’armée de Jésus. Nous avons besoin de toi ». Alors le gars lui répond : « Mais je suis déjà dans l’armée de Jésus, mon Père ! » – « Alors comment ça se fait que je ne te vois qu’aux messes de Noël et de Pâques ? ». Le gars lui glisse à l’oreille : – « C’est parce que je suis dans les services secrets. » (.. !)
Autographe pontifical
Le pape Pie XI avait la réputation de ne pas être drôle, mais il avait cependant, lui aussi, le sens de l’humour. Un peintre fait son portrait. Le pape n’est pas content, il ne se reconnaît pas. A la fin, le peintre demande au pape d’écrire avec on pinceau un petit mot à l’angle du tableau. Et Pie XI écrit : « Jean chap. 6 v 20)
– Qu’est ce que cela signifie ? demande le peintre.
– « Revenez chez vous, ouvrez votre Bible et vous trouverez la référence ».
Le peintre rentre chez lui et prend sa Bible. Le texte était une citation d’une parole de Jésus qui était exactement la suivante : « C’est moi, n’ayez pas peur ! » (Authentique)
« Marche avec nous Marie »
« Ceux qui me connaissent savent que j’aime bien marcher. C’est une des raisons pour lesquelles j’aime beaucoup le chant « Marche avec nous Marie… » Un de mes amis m’a rappelé qu’elle a marché avec un âne. Je lui ai répondu que ça n’a pas changé… »
Parole d’enfant
C’était la veille du dimanche des Rameaux. À cette occasion, les lecteurs se répartissent les rôles pour le long récit de la Passion du Seigneur Jésus.
Un petit garçon demande au prêtre : « C’est toi qui fais Jésus ? »
– Non, pas spécialement, répond le prêtre.
– Alors tu fais l’âne ? »
Pourquoi Jésus est d’abord apparu aux femmes ?
Un papa fait le catéchisme à ses enfants. L’un d’eux, qui a bien écouté la leçon, lui demande :
– Pourquoi le Seigneur est-il d’abord apparu aux femmes et ensuite aux autres après la résurrection ?
Le papa qui s’y connaît, puisqu’il est marié, lui répond :
– Mon enfant, c’est simple, c’est pour que la bonne nouvelle se répande plus vite…!
Comment être curé ?
Comment être curé aujourd’hui ou la quadrature du cercle.
S’il prêche plus de dix minutes…il n’en finit pas !
S’il parle de contemplation de Dieu…il plane !
S’il aborde les problèmes sociaux…il vire à gauche.
S’il va travailler en usine …c’est qu’il n’a rien à faire !
S’il reste en paroisse …il est coupé du monde !
S’il marie et baptise tout le monde…il brade les sacrements.
S’il devient plus exigeant…il veut une Eglise de « purs »
S’il reste à la cure…il ne voit personne !
S’il fait des visites …il n’est jamais au presbytère.
S’il réussit auprès des enfants …il a une religion de gosse !
S’il va voir les malades…il a du temps à perdre, et il passe à côté des problèmes de son temps !
S’il fait des travaux à l’église…il jette l’argent par la fenêtre !
S’il ne fait rien…il laisse tout à l’abandon !
S’il collabore avec le conseil paroissial…il se laisse mener par le bout du nez !
S’il n’en a pas…il est trop personnel !
S’il sourit facilement…Il est trop familier. Si, distrait ou préoccupé, il n’a pas vu quelqu’un…Il est distant !
S’il est jeune… il n’a pas d’expérience !
S’il est âgé… il devrait prendre la retraite.
Alors bon courage Monsieur le curé
Démonstration
Ce jour-là, c’est justement lui qui confesse. Un petit garçon entre au confessionnal et avoue qu’il a fait le poirier pendant le cours d’histoire, juste pour provoquer la maîtresse.
– le poirier ? demande le vieux curé, qu’est ce que c’est ?
– Si vous voulez, je vous fait une démonstration dans l’allée de l’église. » Propose le petit garçon.
Il termine sa confession, reçoit l’absolution et sort du confessionnal, ainsi que le curé pour la démonstration. Le petit garçon fait la démonstration dans l’allée, sous les yeux attentifs du curé… et sous les yeux éberlués de deux dames d’âge mûr qui attendaient leur tour pour se confesser. La première dit alors à la seconde : « Fuyons ! Vous avez vu la pénitence du jour ?
Sacrilège
Le pape Jean-Paul II vint en France en octobre 1986. À un déjeuner officiel à Lyon, on lui sert un bon repas en compagnie des évêques de la région. Le déjeuner est accompagné d’un grand Bourgogne. Le pape prend son verre à vin, en met la moitié dans son verre à eau et boit le mélange sous les yeux des personnes présentes. Un évêque se tourne vers son voisin et dit :
« Je ne croirai plus en l’infaillibilité pontificale ! »
(Authentique.)
Annonce de décès
Le lendemain, en prenant son petit déjeuner, Monsieur le Curé lit dans le journal local l’annonce de sa propre mort, avec le jour, l’heure et le lieu de son enterrement… Il entre alors dans une colère noire et téléphone aussitôt à l’évêché afin de démentir la chose.
– « Allô, Monseigneur, ici l’abbé X, curé de Y. Dites, Monseigneur, avez-vous lu ce matin dans le journal mon faire-part de décès ? »
– « Bien sûr que je l’ai lu, Monsieur le Curé ». Puis, pensif, l’évêque poursuit : « Mais au fait, euh ! d’où m’appelez-vous ? »
Concentré
A la sortie de l’église, le paroissien interpelle le curé :
– « Eh bien, Monsieur le Curé, que vous est-il arrivé ? »
– « Figurez-vous, lui répond l’homme de Dieu, que ce matin, en me rasant, j’étais tellement concentré sur mon sermon que je m’en suis coupé le menton ».
– « Eh bien, Monsieur le Curé, laissez-moi vous donner un petit conseil : dimanche prochain, concentrez-vous sur votre menton, et coupez plutôt votre sermon ! »
Premier prêche
– Joli sermon sans envergure, Mon Père.
Quand l’occasion se présenta, le prêtre demanda au sacristain qui était ce type…
– Ne faites pas attention… C’est l’idiot du village : il ne fait que répéter ce que disent les autres !
A Jérusalem
Un Homme et sa femme étaient en vacances à Jérusalem. Au cours de ce séjour, la femme décéda. L’entrepreneur des pompes funèbres dit au mari :
– Vous pouvez transférer le corps chez vous pour 5000 €, ou bien l’enterrer ici en Terre Sainte pour 150 €.
L’homme réfléchit et lui répondit qu’il voulait transférer le corps chez lui.
L’entrepreneur des pompes funèbres étonné lui demanda :
– Pourquoi dépensez-vous 5000 € pour transférer le corps de votre femme, alors que ce serait merveilleux de l’enterrer ici pour seulement 150 € ?
L’homme répondit :
– Il y a longtemps, un homme est mort ici, a été enterré ici, et trois jours plus tard, il est ressuscité. Je ne veux pas prendre ce risque !
Source: http://chemindivin.centerblog.net
Mauvaises notes
Le rêve de Noël
Au moment où elle se réveille, une femme dit à son mari :
– Chéri, je viens de faire un rêve incroyable. Je rêvais que tu m’offrais un collier de perles pour la Noël. À ton avis, qu’est-ce que ça peut vouloir dire?
– Tu le sauras ce soir… répond le mari avec un petit sourire.
Ce soir là, l’homme rentre du travail avec un petit paquet cadeau. Sa femme, ravie, commence à le déballer, et à l’intérieur, elle découvre un livre intitulé : « L’interprétation des rêves ».
Richard
Jonas
Une petite fille parlait à son professeur des baleines ; le professeur lui dit qu’une baleine ne pouvait pas avaler un être humain ; la fille lui dit : Jonas a bien été avalé par une baleine ! Irrité le professeur se fâche disant que c’était impossible. La fille lui dit : quand je serai au paradis, je demanderai à Jonas !
– Mais si Jonas est en enfer ?
– Dans ce cas, c’est vous qui le lui demanderez !
Autographe pontifical
le pape Pie XI avait la réputation de ne pas être drôle, mais il avait cependant, lui aussi, le sens de l’humour. Un peintre fait son portrait. Le pape n’est pas content, il ne se reconnaît pas. A la fin, le peintre demande au pape d’écrire avec on pinceau un petit mot à l’angle du tableau. Et Pie XI écrit : « Jean chap. 6 v 20)
Qu’est ce que cela signifie ? demande le peintre.
– « Revenez chez vous, ouvrez votre Bible et vous trouverez la référence ».
Le peintre rentre chez lui et prend sa Bible. Le texte était une citation d’une parole de Jésus qui était exactement la suivante : « C’est moi, n’ayez pas peur ! » (Authentique)
Rugby et religion
Un joueur de rugby est très malade. Il fait venir le prêtre et lui demande : « Savez-vous s’il y a une équipe de rugby au ciel ? »
Le prêtre lui répond : « je ne sais pas, je vais me renseigner. Je reviendrai demain vous donner la réponse. »
Le lendemain, le prêtre revient et lui dit : « J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. La bonne : Oui, il y a bien une équipe de rugby au ciel. La mauvaise, vous jouez dès demain. »
Annonce paroissiale
Au retour caté
Avec les enfants, il y a souvent ce que l’on voudrait dire et ce qui est compris. Un petit garçon revenait du catéchisme et faisait part à sa maman de son enthousiasme : « Aujourd’hui, on nous a parlé d’un homme extraordinaire, Abraham. Tu te rends compte, il a tout quitté pour aller là où Dieu lui demandait. Par contre, le cadeau que Dieu lui a offert, c’est pas terrible ».
– Ah bon ! et qu’est ce que c’est ? demande la maman
– Une vieille essoreuse…
La maman ne comprend pas très bien et pense que c’est peut-être la nouvelle pédagogie. Renseignements pris auprès de la catéchiste, il s’agissait d’une « vieillesse heureuse. »
Construire une route en montagne
Visitant la Sicile, Marcel Achard ( 1899-1974 ) interrogea le maire d’un petit village perché en haut d’un contrefort escarpé :
– » Comment faites-vous pour construire une route dans votre pays ?
– Nous lâchons un âne et il n’y a plus ensuite, qu’à élargir le chemin qu’il a tracé.
– Et si vous n’avez pas d’âne sous la main ?
– Alors, là, nous faisons venir de la ville un ingénieur des Ponts et Chaussées… »
Pas de cerveau…
Cette institutrice de « petits » voulait libérer ses enfants de la classe, de leur foi selon elle, stupide.
Elle les emmène au jardin et dit à Jean:
-Que vois-tu, Jean dans ce beau jardin?
-Le Soleil, m’amzelle, un arbre, le pré…
-Vois-tu un Dieu dans ce ciel?
– Non, m’amzelle…
-Tu comprends? Il n’y a pas de Dieu.
-Je peux poser des questions à Jean, moi aussi, demanda Marie Françoise
-Bien sûr, répondit l’institutrice.
-Que vois-tu, Jean dans ce beau jardin?
-Le Soleil, Marie Françoise, un arbre, le pré…
-Tu vois le cerveau de l’institutrice?
-Non, Marie Françoise.
– Tu comprends? Mademoiselle l’institutrice n’a pas de cerveau…
Roger et Roger
Il y avait, dans un village, deux hommes qui s’appelaient ROGER.
L’un était prêtre et l’autre chauffeur de taxi.
Le destin voulut que tous deux meurent le même jour.
Ils arrivent au Ciel et se présentent devant le Seigneur.
ROGER, le chauffeur de taxi, passe en premier.
Dieu consulte ses registres et lui dit :
– Très bien, mon fils, tu as gagné le Paradis. Tu as droit à une tunique en fils d’or
et à un bâton en platine. Tu peux y aller.
Quand passe l’autre ROGER, Dieu lui dit :
– Bien, tu as mérité le Paradis. Tu as droit à une tunique de lin et un bâton en chêne.
Le prêtre est surpris :
– Pardon, Seigneur, mais il doit y avoir une erreur. Je suis bien ROGER, le prêtre !
– Oui, mon fils, tu as mérité le Paradis avec cette tunique de lin.
– Non ! Ce n’est pas possible ! Je connais l’autre ROGER : il vivait dans mon village.
C’était une catastrophe comme chauffeur de taxi ! Il avait des accrochages tous les jours,
il roulait comme un dingue et conduisait très mal.
Et moi, j’ai passé 50 ans de ma vie à prêcher tous les dimanches à la paroisse.
Comment est-il possible qu’on lui donne la tunique en fils d’or et à moi celle-ci ?
Et Dieu lui répond :
– Non, mon fils, il n’y a aucune erreur.
Nous faisons maintenant des évaluations et des bilans de compétences.
– Comment, comment ?… Je ne comprends pas.
– Oui, nous travaillons au résultat et avec des objectifs. Durant ces derniers 25 ans, chaque fois que tu prêchais, les paroissiens s’endormaient… Mais lui, chaque fois qu’il conduisait,
tout le monde priait !
RIONS UN PEU AVEC L’ALSACE !
Il pleuvait à verse ce jour-là, et une grande flaque s’était formée devant la taverne d’Oberschaeffolsheim le Haut.
Un vieillard alsacien était là, sous la pluie, avec une canne et une ficelle pendue au dessus de la flaque.
Un touriste, parisien de surcroît, touché par ce qu’il voyait, l’approcha et lui demanda ce qu’il faisait là, sous cette pluie battante .
«Je pêche » répondit le vieil alsacien, tout simplement.
Pauvre bougre, pensa le brave touriste parisien, qui invita aussitôt le vieillard à l’accompagner dans la taverne pour se sécher au chaud et prendre une boisson.
Alors qu’ils buvaient leur gewurztraminer à petites gorgées, le gentil touriste, pensant faire plaisir au vieillard, lui demanda, un peu ironique :
« Et alors, vous en avez attrapé combien, depuis ce matin ? »
« Vous êtes le huitième » répondit le vieil alsacien, avec un grand sourire !
Aux portes du paradis
Pendant qu’elle attend que St-Pierre l’accueille, elle jette un coup d’œil à travers les barrières.
Elle voit une magnifique table de banquet autour de laquelle sont assis ses parents et toutes les personnes décédées qu’elle a aimées.
En la voyant, elles se sont toutes mises à la saluer :
Bonjour. Comment ça va? On t’attendait et on est bien content de te revoir.
Lorsque St-Pierre arriva, la femme lui dit : c’est tellement un endroit magnifique. Comment puis-je entrer?
Tout ce que vous avez à faire, c’est d’épeler un mot.
Quel est le mot? Lui demanda t-elle?
C’est le mot «Amour».
La femme épela correctement «Amour» et St-Pierre lui souhaita la bienvenue au paradis.
Quelques années plus tard, St-Pierre demanda à la femme de le remplacer aux portes au paradis pour la journée.
Pendant que la femme est à son poste, son mari arrive à la porte du paradis.
Je suis surprise de te revoir lui dit sa femme. Comment vas-tu? Lui demanda t-elle?
Oh! j’allais très très bien depuis que tu es décédée » lui dit Son mari. J’me suis marié avec la belle jeune infirmière qui prenait soin de toi pendant que tu étais malade.
En voyage de noces en Floride, j’ai gagné 250 millions à la Loterie américaine. J’ai ensuite vendu la petite maison dans laquelle nous habitions à Montréal-Nord. Puis j’ai acheté une magnifique villa en Espagne au bord de la Mer, un superbe vignoble en Italie en plus d’un Immense ranch en Californie et d’une autre villa dans les îles Fidji.
Finalement, ma nouvelle femme et moi avons voyagé à travers le Monde avec mon jet privé et couché dans les hôtels les plus luxueux.
Nous étions en vacances sur mon magnifique yacht de 125 mètres Dans le port de Capri en Italie lorsque ce matin en pilotant mon hélicoptère pour aller chercher ma nouvelle jeune épouse qui magasinait chez Versace, j’ai fait une fausse manœuvre et je me suis écrasé en Mer.
En tombant, je me suis frappé la tête et me voici. C’est ben plate!
Dis-moi. Comment je fais pour entrer au paradis.
Oh! tu as juste à épeler un mot » lui dit son ancienne épouse.
Quel est ce mot? Demande le mari.
«SCHWARZENEGGER ».
Morale de l’histoire :
N’écœurez pas une femme. Vous pourriez vous retrouver chez Le diable bien plus vite que vous ne le pensez! (dit par une femme -:))
Il était une fois…
Il était une fois un roi qui voulait aller à la pêche. Il appelle son météorologue et lui demande l’évolution pour les heures suivantes. Celui-ci le rassure en lui affirmant qu’il pouvait aller tranquillement à la pêche car il n’y aurait pas de pluie.
Comme la reine vivait près de là où il irait, le roi revêtit ses plus beaux atours. Sur le chemin, il rencontra un paysan monté sur son âne qui, en voyant le roi lui dit : « Seigneur, vaut mieux que vous rebroussiez chemin car il va beaucoup pleuvoir dans peu de temps. » Bien sûr, le roi continua en pensant : « Comment ce type peut-il mieux savoir que mon spécialiste, très bien payé, qui m’a indiqué le contraire. Poursuivons. » Et c’est ce qu’il fit… et bien sûr, il plut à torrents. Le roi trempé, sa reine se moqua de le voir dans un si piteux état.
Furieux, le roi retourna au palais et congédia son employé. Il convoqua le paysan et lui offrit le poste, mais le paysan refusa « Seigneur, je ne suis pas celui qui comprend quelque chose dans ces affaires de météo ni de climat, mais je sais que si les oreilles de mon âne sont baissées, alors ça signifie qu’il va pleuvoir. »
Et le roi a embauché l’âne… C’est ainsi que commença la coutume de recruter des ânes pour les postes de ministres les mieux payés…
Gaby Awad
(Un ami nous signale que « Cela a donné d’ailleurs l’anagramme parfait d’ANE : ENA ! « )
Origines de l’humanité
Une petite fille demande un jour à sa mère : ‘Maman, comment la race humaine est-elle apparue?’
La maman répond: ‘Dieu fit Adam et Ève et ils eurent des enfants. C’est ainsi que la race humaine est apparue’.
Deux jours plus tard, la petite fille demande à son père la même question.
Le père répond: ‘Il y a très longtemps existaient les singes. Au fil des années ils se transformèrent pour devenir des hommes. C’est ainsi qu’est apparue la race humaine.’
Confuse, la petite fille retourne voir sa mère et lui demande:’Maman comment se fait-il que tu m’aies dit que la race humaine a été créée par Dieu et que papa m’affirme qu’elle vient du singe?’
‘Chérie, répondit la maman, c’est que moi je t’ai parlé de l’origine de ma famille et ton père de la sienne!’
Prière universelle
Le célébrant dans une paroisse a inscrit cette « prière universelle » sur la feuille paroissiale :
Pour tous les membres de nos assemblées du dimanche qui savent faire l’effort de venir à l’heure. Afin que Dieu les comble de ses grâces en guise de merci et les aide à témoigner dans leur vie, de la Parole qu’ils sont venus entendre, prions le Seigneur.
Pour les membres de nos assemblées qui n’ont pu arriver à l’heure à cause d’une imprévisible charge familiale, afin qu’ils se sentent accueillis de tous, jusque dans leur retard excusable…
Pour ceux d’entre nous qui sont arrivés en retard par négligence ou par habitude, afin que Dieu les rendre inquiets de la Parole qu’ils n’ont pu entendre et aussi un peu plus soucieux d’une communauté qui les attendait et qu’ils ont troublée par le bruit de leur entrée…
Pour ceux qui ne sont pas encore arrivés au moment de cette prière et qui, peut-être, n’arriveront jamais, afin que Dieu les aide à comprendre qu’ils risquent d’arriver trop tard aussi au rendez-vous du Royaume des cieux.
Seigneur, nous te rendons grâce pour le travail des ingénieurs, des artisans et des ouvriers qui a permis de faire de nos montres et de nos horloges des merveilles de précision et d’exactitude. Apprends-nous à y lire l’appel que tu nous lances pour nous rassembler, bien à l’heure juste, avec tous nos frères et sœurs en Jésus-Christ notre Seigneur. Amen.
Un pape très âgé
Le Pape très âgé est alité depuis quelque temps. Sentant sa dernière heure arrivée, il fait convoquer un assureur et un banquier parmi les plus renommés de Rome.
Il leur est demandé de venir rapidement le voir, ensemble.
Dès leur arrivée, on les conduit dans la chambre où repose le Saint Père et on les fait asseoir chacun d’un côté du lit.
Le Pape leur lance un regard intense, sourit, puis regarde au plafond. Ni l’assureur ni le banquier ne disent mot. Ils se montrent particulièrement touchés que le Pape ait pensé à eux en un moment aussi solennel, mais n’en demeurent pas moins très intrigués.
Finalement, l’assureur, n’en pouvant plus, demande au pape :
» Votre Sainteté ! Pourquoi sommes-nous là ?
Le Pape, rassemblant ses dernières forces, lui répond très faiblement :
– » Jésus est mort entre deux voleurs. Je souhaite finir comme lui…
Jean XXIII
A un diplomate nouvellement accrédité qui lui demandait combien de personnes travaillent au Vatican, Jean XXIII répondit : « Oh, pas plus de la moitié ! » (Authentique)
Courses de Noël
Nous sommes fin décembre et le juge du tribunal correctionnel est de bonne humeur. Il demande au prisonnier :
– Quelles sont les faits qui vous sont reprochés ?
– On me reproche d’avoir fait mes achats de Noël trop tôt!
– Mais ce n’est pas un crime ça. Et comment ça, trop tôt !
– Ben, avant que le magasin n’ouvre…
Arrivée au ciel
Une femme arrive au ciel, avant de repartir au purgatoire pour sa période de pénitence, elle demande à St Pierre si elle peut revoir son mari.
– On va faire un effort et le chercher…
St Pierre consulte son ordinateur et regarde dans le fichier des bienfaiteurs : Rien.
Il regarde le fichier des Béatifiés : Rien !
Il va voir dans le dossier des Saints : toujours rien !!!
– Au fait, vous étiez mariés longtemps ?
Toute fière :
– Oh oui 52 ans!!!
– Ah bien sûr, ça explique tout !!! C’est chez les martyrs qu’il fallait chercher !!!
Dans un monastère
Cela se passe dans une communauté de religieuses. La supérieure demande à ses sœurs : Imaginez qu’on vous propose d’être un objet qui sert pour l’Eucharistie ; lequel aimeriez-vous être ?
Une sœur répond
– « J’aimerais être la nappe pour embellir l’autel qui servira à l’Eucharistie ».
Une autre
– « Moi j’aimerais être le ciboire pour contenir le Corps du Christ ».
Un autre encore :
– « Moi j’aimerais être le calice pour contenir le sang du Christ. »
Et chacune continue à tour de rôle…
Une dernière toute timide n’avait encore rien dit.
La mère supérieure lui pose la question :
– « Et vous, qu’aimeriez-vous être ?
– « J’aimerais être le livre pour recevoir le baiser du prêtre. »
(Raconté par une religieuse)
Les obsèques de l’abbé Quille
Un grand malheur vent d’arriver à l’abbaye. J’ai la pénible mission de vous en faire part.
Mardi soir, pendant que l’abbé Nédictine donnait le salut, l’abbé Quille est tombé dans les bras du père Iscope. Jugez de la stupéfaction générale. Tous les révérends Pères pleuraient, en particulier le père Clus, qui, en perdant l’abbé Quille, perdait son seul soutien. Un seul était joyeux : le père Fide. Quant à l’abbé Tise, il n’y comprenait rien.
On alla chercher le père Manganate et le père Itoine, les deux médecins de l’abbaye. Ils essayèrent de ranimer le malheureux, mais tous leurs efforts furent vains.
Le lendemain furent donc célébrées les funérailles. Chacun fut appelé à l’abbaye par les cloches de ce célèbre monastère, tirées par le père Sonnage. La messe fut dite par l’abbé Canne sur un musique de l’abbé Thoven et de l’abbé Rlioz. Le père Hoquet fut chargé du sermon, et comme il n’y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du père Choir. Le père Cepteur fit la quête.
A la fin de la messe, une grande discussion s’éleva au sujet du chemin à prendre : l’abbé Trave et l’abbé Casse ainsi que le père Dreau voulaient passer à travers champs, mais l’abbé Canne et le père Clus s’y opposaient fermement. le père Plexe hésitait… Le père San, avec sa tête de turc, ne voulait rien entendre. les deux pères Huques s’arrachaient les cheveux. Le père Vers et le père Nicieux, d’accord avec le père Fide, semaient le doute dans les esprits. Le père Spective regardait au loin. Enfin, comme le père Il était grand, chacun se rallia à son opinion.
Au cimetière, devant la tombe creusée par la père Forateur, en l’abscence du père Missionnaire, le père Pétuel et le père Manent firent un discours sur l’éternité. Le père Venche et l’abbé Gonia fleurirent le tombe pendant que l’abbé Rébasque se découvrait. On recouvrit la fosse avec une pierre tombale préparée par l’abbé Tonneuse.
Sur le chemin du retour, le spectacle était déchirant. Le père Pendiculaire était courbé par la douleur ; l’abbé Nitier était plein de larmes ; le père Igourdin, frère du père Igord et l’abbé Harnais, neveu de l’abbé Harn fermaient le marche. En chemin, le père Du fut retrouvé. A l’arrivée au couvent, le père Cil et l’abbé Quée préparèrent le repas. L’abbé Chamel fit la sauce. Le père Nod et l’abbé Nédictine servirent à boire, tandis que le père Colateur préparait le café. Chacun put alors se remettre de ses émotions.
Inconnu
Programmes de mariage
Mdr…….
Faites attention à celui qui imprimera vos programmes de mariage.
On a demandé à une secrétaire à mettre 1Jean 4:18 dans un programme de mariage, mais elle a fait une erreur et a imprimé Jean 4:18.
1 Jean 4:18 dit: «Il n’y a pas de crainte dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte ….. »
Mais Jean 4:18 dit, « Car tu as eu cinq maris avant, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari ».
La none et la CGT
Si tout le monde avait leur humour…..
Voici deux lettres, toutes deux authentiques (novembre 2004)
L’une a été écrite par Sœur M., moniale Visitandine à Nantes. L’autre, la réponse, est signée par Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT.
Lettre adressée par Sœur M . à la C.G.T. :
Madame, Monsieur,
Religieuse cloîtrée au monastère de la Visitation de Nantes,,Je suis sortie, cependant, le I9 juin, pour un examen médical. Vous organisiez une manifestation. Je tiens à vous féliciter pour l’esprit « bon enfant » qui y régnait. D’autant qu’un jeune membre de votre syndicat m’y a fait participer ! En effet, à mon insu, il a collé par derrière, sur mon voile, l’autocollant CGT après m’avoir fait signe par une légère tape dans le dos pour m’indiquer le chemin. C’est donc en faisant de la publicité pour votre manifestation que j’ai effectué mon trajet.
La plaisanterie ne me fut révélée qu’à mon retour au monastère. En communauté, le soir, nous avons ri de bon cœur pour cette anecdote inédite dans les annales de la Visitation de Nantes.
Je me suis permis de retraduire les initiales de votre syndicat
(GGT: Christ, Gloire à Toi).
Que voulez-vous, on ne se refait pas. Merci encore pour la joie partagée.
Je prie pour vous.
Au revoir, peut-être, à l’occasion d’une autre manifestation.. . Sœur M.
Réponse du secrétaire générale la C.G.T.
Ma sœur,
Je suis persuadé que notre jeune camarade, celui qui vous a indiqué le chemin, avait lu dans vos yeux l’humanité pure et joyeuse que nous avons retrouvée dans chacune des lignes de votre lettre. Sans nul doute il s’est agi d’un geste inspiré, avec la conviction que cette pointe d’humour , bon enfant » serait vécue comme l’expression d’une complicité éphémère et pourtant profonde. Je vous pardonne volontiers votre interprétation originale du sigle de notre confédération, car nous ne pouvons avoir que de la considération pour un charpentier qui a révolutionné le monde. Avec tous mes sentiments fraternels et chaleureux.
Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT
Aller à la messe ou pas ?
On entend encore des personnes qui nous ressortent l’argument « bateau » qui fait qu’ils ne vont plus à la messe : Ils prétendent que ceux qui y vont ne sont là « que pour se faire voir. » Ce à quoi un prêtre a répondu : « Alors moi je n’y irai pas non plus car lorsque j’y vais, les gens ne voient que moi… »
Le mensonge
Un prêtre annonce à la fin de la messe que dimanche prochain, il fera un sermon sur le mensonge. Pour les préparer, il les invite à lire le chapitre 17 de l’Évangile selon saint Marc.
Le dimanche suivant, il demande à ses paroissiens qui l’a lu. Tous lèvent la main.
Alors le prêtre leur dit : « Dans l’Évangile selon saint Marc, il n’y a que 16 chapitres. Vous êtes tous mûrs pour un sermon sur le mensonge.
Sur les bords du lac de Tibériade
Sur les bords du lac de Tibériade, un touriste demande :
– Combien pour une promenade ?
Devant le prix, il s’étonne : c’est bien cher.
– Comment cher, dit le guide, vous oubliez que Jésus l’a traversé à pied.
– Eh bien ! dit le touriste. Ça ne m’étonne pas. Avec les prix que vous faites !
Sacrilège
Le pape Jean-Paul II vint en France en octobre 1986. À un déjeuner officiel à Lyon, on lui sert un bon repas en compagnie des évêques de la région. Le déjeuner est accompagné d’un grand Bourgogne. Le pape prend son verre à vin, en met la moitié dans son verre à eau et boit le mélange sous les yeux des personnes présentes. Un évêque se tourne vers son voisin et dit :
« Je ne croirai plus en l’infaillibilité pontificale ! »
(Authentique.)
Prière de louange
On sait que Saint François d’Assise louait le Seigneur en toute circonstance pour le ciel, la lune, les étoiles, les animaux… Un jour un oiseau s’est oublié et ça lui est tombé en pleine figure. Les frères de sa communauté se sont dit en se moquant : « On verra bien ce qu’il va dire… Mais François s’est écrié : « Merci mon Dieu de ne pas avoir donné des ailes aux vaches…
Théologie
« Je te donne une orange, dit un évêque à un jeune qu’il se prépare à confirmer, si tu me dis où est Dieu »
Et le jeune de répondre
« Je vous en donne deux si vous me dites où il n’est pas… »
Aucun ennemi
Jean, 99 ans et 11 mois et 1/2, pas un seul ennemi !
Vers la fin de la messe du dimanche, le prêtre demande :
– Combien d’entre vous ont pardonné à leurs ennemis ?
80 % des gens lèvent la main.
Le curé répète sa question.
Tous lèvent la main cette fois-ci, sauf un vieillard, un golfeur passionné qui s’appelle Jean.
Il assiste à la messe seulement quand la météo est mauvaise.
– Jean,… puisqu’il ne fait pas assez beau pour jouer au golf, je vous souhaite la bienvenue dans notre église.
Vous ne voulez pas pardonner à vos ennemis ?
– Je n’ai aucun ennemi, répond-il tranquillement.
– Jean, ceci est très inhabituel. Quel âge avez-vous ?
– 99 ans et 11 mois et 1/2.
Toute la foule se lève et l’applaudit.
– Monsieur Jean, pourriez-vous, s’il vous plaît, venir devant l’autel, et nous dire comment une personne peut vivre 99 ans et 11 mois et 1/2 et n’avoir aucun ennemi ?
Le vieux Jean marche le long de l’allée et vient dire au micro avec un petit sourire sur les lèvres :
– Ils sont tous morts… !…
Au retour du caté
Avec les enfants, il y a souvent ce que l’on voudrait dire et ce qui est compris. Un petit garçon revenait du catéchisme et faisait part à sa maman de son enthousiasme : « Aujourd’hui, on nous a parlé d’un homme extraordinaire, Abraham. Tu te rends compte, il a tout quitté pour aller là où Dieu lui demandait. Par contre, le cadeau que Dieu lui a offert, c’est pas terrible ».
– Ah bon ! et qu’est ce que c’est ? demande la maman
– Une vieille essoreuse…
La maman ne comprend pas très bien et pense que c’est peut-être la nouvelle pédagogie. Renseignements pris auprès de la catéchiste, il s’agissait d’une « vieillesse heureuse. »
45 ans de mariage
C’est l’histoire d’un vieux couple marié depuis 45 ans. Ils vivent paisiblement dans un coin paumé du centre de la France. L’homme appelle son fils qui vit à Marseille et lui dit:
– Je suis désolé de te gâcher ta journée, mais je dois te dire que ta mère et moi, on a décidé de divorcer, 45 années comme ça c’est assez .
– Mais qu’est-ce que tu racontes papaaaaaaa !
– Nous ne pouvons plus rester ensemble plus longtemps, nous en avons marre l’un de l’autre et je ne veux pas en discuter davantage, je suis à bout, alors appelle ta sœur qui vit à Paris et annonce lui la nouvelle !
Et le vieil homme raccroche. Le fils appelle sa sœur qui explose au téléphone :
– Ce n’est pas possible qu’ils divorcent comme ça, je vais m’occuper de ça !
Elle appelle son père immédiatement, en hurlant dans le téléphone :
– Tu ne vas pas divorcer comme ça, attends jusqu’à ce que j’arrive. Je vais appeler mon frère et nous serons chez toi dès demain matin ! Jusque là, ne fais rien, ne bouge pas, TU M’AS COMPRISE ?
Et elle raccroche.
Le vieil homme raccroche alors et se tourne en souriant vers sa femme :
– C’est OK, ils seront là demain pour Pâques et ce sont eux qui payent leur voyage .
Un professeur
Un prof dit a ses élèves:
– Les hommes intelligents sont toujours dans le doute. Seuls les imbéciles sont constamment affirmatifs.
– Vous en êtes certain?, demande une élève.
– Absolument certain !